Parfois, une sorte de fascination semble dire "ni Dieu ni paix n'existe, regarde comme tu souffres".
Accroché à une impression venant du passé qui alimente l'idée d'une menace prochaine, « Moi » est au centre de la perception. Je me sens seul, l'amour m’échappe et je suis paralysé par la perspective sombre et inquiétante de ce qui m'attend.
A son paroxysme, la douleur peut alors prendre un caractère insoutenable, et rien ne pouvant arriver de pire dans le futur que ce que je vis maintenant, la peur tombe et la souffrance avec !
La douceur d'être est alors perçue à nouveau, conduite par un élan immaculé…
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