Je croyais que l’absence d’identification au "moi" induisait l'absence de tensions corporelles, psychiques et mentales.
Il n'en est rien. Je réalise qu’en l’absence d’identification, il n’est simplement pas de « je » propriétaire des tensions qui m’habitent.
Et je découvre qu'au cœur de la souffrance, l’éprouvé de la vastitude demeure toujours prêt à m’étreindre.
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